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Juste avant le concert de Converge, Touché Amoré nous a gratifié de son screamo post-hardcore histoire de bien chauffer la salle et en particulier le ptit groupe à drote de la scene qui était en osmose totale avec le chanteur...
La dernière fois que je les avais vu, c'était en 2007 à Genève, j'avais alors fait un ptit trip depuis Grenoble pour ne pas rater cette date au Romandie. Cette fois ci, j'ai vu la semaine dernière qu'ils faisaient un tour express en Europe avec seule date en France, à l'Astrolab d'Orléans... Boh c'est qu'a une heure de route me suis-je dis. Billet en poche, matos photo prêt direction l'A10.
Le show était déjà bien entamé quand je suis arrivé et j'ai raté les deux premiers groupes (mais je ne le savais pas encore), Touché Amoré est sur scène quand j'arrive dans la salle.
Le temps pour moi de me chauffer et d'apprécier le set de ce groupe de post-hardcore; le set fini, je vais baver devant les vinyles du dernier LP de Converge... 25€ bon... c'est une édition collector, j'hésites et je me dis que je repasserai après le show, histoire ne pas m'encombrer. Direction le bar pour une ptite mousse et c'est alors que les premières notes de Concubine, Converge est déjà sur scène et la salle s'affole. Tant pis pour la bière ! direction le pit.
Le set fut ultra énergique; j'ai pris une grosse claque comme à Genève, on se demande même ou ils vont chercher tout ça en tournant tout les soirs; mais ce fut extraordinaire. La set list que vous pouvez retrouver ici a couvert les meilleurs morceaux derniers albums avec une petite dominante "All We Love We Leave Behind". Jacob Bannon, très accessible, a chaudement remercier ces fans d'avoir fait des kilomètres pour voir le groupe et n'a pas ménagé sa peine.
Le set s’achève un rappel avec un First Light / Last Light d’anthologie. Grandiose. Je me précipite alors vers le stand en espérant ramener un vinyle mais malheureusement ils n'en vendaient plus... snif...
Anyway, ça valait le coup de venir prendre une grosse claque.
Pour les curieux, leur dernier album est en streaming sur Youtube
PS: Si vous cherchez un photographe pour couvrir quelques concert, contactez moi
Harrison Stafford dit "Professor" est le chanteur et un des trois membres fondateurs de Groundation qui existe depuis 1998. Le groupe a été fondé sur les bancs d'une université de Californie ou les 3 membres fondateur étudiaient le jazz...
Quelques années plus tard lors d'un voyage en Israël, Harrison écrivit quelques chansons pour délivrer un message de paix à ses frères Israélo-Palestiniens et lanca son projet solo : Professor; c'est entouré de pointures du reggae : Leroy "Horsemoth" Wallace à la batterie (The Abyssinians, Burning Spear), Earl Carter à la basse connu à travers le monde sous le pseudo Flabba Holt (Gregory Isaacs, Bunny Wailer, Israel Vibration) qui distille ce message de paix et de tolérance.
Retour sur une soirée de reggae à Bagneux.
Le site de son projet solo
Dix huit mois se sont déjà écoulés depuis le terrible tsunami du 11 mars 2011. Grâce à la générosité du monde entier, les sinistrés ont déjà pu être relogés dans de petites maisons provisoires.
Et malgré le manque d’électricité dans certaines régions, les gens habitent désormais à l’abri de la pluie et du vent.
Mais le tsunami n’a pas uniquement emporté les maisons, les enfants orphelins n’ont plus la possibilité de poursuivre sereinement leurs études, et les adultes qui ont perdu leurs emplois voient leur avenir cruellement compromis.
Hier soir STAL, Gush et Moriarty jouaient donc pour la bonne cause au Trabendo.
Le site de Hope and Love For Japan
Changeons un peu de style, et allons découvrir au Point Ephémere, l'indie rock des norvégiens de Kakkmaddafakka (retranscription néologique de Cock mother fucker) et les ambiances électro-rock de Mungo Park.
Let's change and discover at Le Point Ephémere, the norvegian indie rock of Kakkmaddafakka (pronounce it cock mother fucker) and the electro rock atmospheres of Mungo Park
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